UNE REPRISE TIMIDE...

Ce mercredi 5 septembre, malgré une lombo-sciatique 

qui me donne des douleurs en bas du dos et surtout au genou gauche, 

nous essayons une petite promenade en vélo !

Pour la marche nordique, 

nous verrons ce qu'en pense le rhumatologue...

Bref, ce matin, la brume engourdit le paysage 

et laisse passer un léger voile lumineux.

Il ne fait pas froid, nous apprécions 

de reprendre la route...

Et de redécouvrir la végétation, 

toujours aussi jolie et variée !

La route est un peu vallonnée,

entourée de champs cramoisis.

A Juzancourt, nous prenons un petit chemin 

très caillouteux en sous-bois.

Il faut se méfier des bâtons et des nids de poule

qui jonchent le sentier !

Nous débouchons dans la clairière 

où la couche de cailloux est plus importante 

et les risques de dérapages aussi, du coup.

Malgré la canicule de cet été, 

la nature est encore très colorée, 

avec ces baies bleues et ces feuilles rouges...

Des baies rouges, cette fois !

Et toutes ces sortes de fleurs...

Aller, Jym, on repart ?

C'est avec beaucoup de difficultés 

que le soleil essai de percer !

Là, le maïs est plus que sec... 

On s'attendrait presque à trouver du pop-corn sur la route !

Arrivés au canal, 

nous faisons une petite pause au bord de l'eau.

Nous sommes bien, détendus !

Pour le moment, je ne souffre pas trop...

Et ben, c'est super d'avoir installé une place handicapé 

le long du canal, mais faudrait peut-être l'entretenir ! 

Un arbre commence vraiment à l'envahir !

Aller, nous allons repartir...

Le niveau de l'Aisne est bien bas, on en voit le fond.

C'est très joli !

Avec plus de couleurs, 

on remarque mieux les contrastes...

J'adore cet arbre avec ses boules de gui,

seul en plein milieu d'une pâture pour les vaches.

La visite de sangliers a fait des ravages 

dans ce champs de maïs...

Apparemment, ils se sont régalés.

Voici une façon très originale de reboucher les trous...

On voit bien que ce chemin est surtout emprunté par les tracteurs !

Nous faisons le plein de chlorophylle 

et les oiseaux s'en donnent à cœur joie. 

A la sortie d'un village, caché sous la végétation, 

un blockhaus semble endormi.

Nous sentons déjà l'odeur du feu de cheminée, 

l'automne n'est plus très loin...

Après 13 km de pédalage et une bonne côte pour finir, 

je ne suis pas mécontente de rentrer me reposer. 

Je pense que je suis arrivée à la limite pour mon dos, aujourd'hui !